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Depuis de nombreuses années, Jaeger-LeCoultre s’engage à soutenir les artistes devant et derrière la caméra, animés par cette même passion et besoin de création que les artisans de la manufacture.

Jaeger-LeCoultre, partenaire officiel du Festival international du film de Venise depuis dix ans, remet chaque année le prix « Glory to the Filmmaker » à un réalisateur sélectionné par le directeur du festival. Ce prix, remis pour la première fois par Jaeger-LeCoultre en 2007, rend hommage à un artiste qui a apporté un souffle nouveau au cinéma contemporain. Il a récompensé des personnalités telles que Takeshi Kitano, Abbas Kiarostami, Agnès Varda, Sylvester Stallone, Mani Ratnam, Al Pacino, Spike Lee, Ettore Scola, James Franco et Brian de Palma.

En 2013, Jaeger-LeCoultre a renforcé son soutien au monde du cinéma et à la nouvelle génération de cinéastes en créant, avec la Film Society of Lincoln Center, le projet « Filmmaker in Residence ». Par le biais de son partenariat avec le Festival international du film de Shanghai, Jaeger-LeCoultre travaille également à la préservation de l’héritage cinématographique chinois en finançant la restauration de films anciens.

Jaeger-LeCoultre et le Chaplin’s World

Il y a un an, Jaeger-LeCoultre devenait partenaire de Chaplin’s World, heureux de rendre hommage à l’illustre artiste qu’a été Charlie Chaplin, devant et derrière la caméra. Quand l’acteur-réalisateur s’installe en Suisse en 1953, le gouvernement helvétique salue ce grand personnage, qui a marqué l’histoire par son talent, en lui offrant un cadeau très personnel : une montre Jaeger-LeCoultre Memovox. Sur son boîtier sont gravés les mots suivants : « Hommage du gouvernement Vaudois à Charlie Chaplin – 6 octobre 1953 ». Précieusement conservée par la famille Chaplin depuis lors, cette montre mécanique se dévoile aujourd’hui dans son écrin d’origine, dans la bibliothèque du Manoir de Ban.

Jaeger-LeCoultre et Eileen Hofer

Cette année, la Grande Maison est fière de soutenir le travail remarquable de la jeune et talentueuse cinéaste suisse, Eileen Hofer. Passionnée par le cinéma depuis toujours, elle décide de s’y consacrer dès 2008 en réalisant plusieurs courts et longs métrages. Ils sont présentés dans des festivals de films internationaux tels que Rotterdam, Soleure, Locarno, Karlovy Vary...et glanent des dizaines de prix. Ses voyages et ses rencontres deviennent pour elle une école de vie, une école de cinéma. Tous saluent le travail de cette artiste.

Le projet d’exposition « TOMORROW THE BIRDS WILL SING » est né au détour des voyages d’Eileen Hofer aux quatre coins du monde. Que ce soit sur un navire le long de la rivière Yangtsé en Chine, lors d’une nuit étoilée aux abords du cratère de Ngorongoro en Tanzanie ou lors d’une fête familiale dans la banlieue de Baku, Eileen Hofer s’est rendue compte que Charlot déclenchait partout des émotions unanimes. Un comique à la portée universelle qui transmet des valeurs intemporelles.

Avec Chaplin, Eileen a appris à pleurer, à rire, à soupirer. Elle a appris la beauté du geste, le sens et la précision du mot même silencieux. Avec Chaplin, elle a appris la bienveillance mais surtout à croire en elle et en chacun. Avec Chaplin, elle a appris à vivre le moment présent, à voire le verre à moitié plein, à partager, à inventer, à créer, à relativiser et à trouver le beau dans l’absurde. Avec Chaplin, elle a vu l’enfant naître et le projecteur d’une salle de théâtre s'assombrir sur un visage ridé. Chaplin se moque de la médiocrité sans pour autant lui en vouloir. Tire sa révérence avec tristesse mais sans désespoir. Les salles sont tantôt pleines, tantôt vides et résonnent comme le parcours de nos vies. Avec Chaplin, Eileen a appris à ne plus revenir sur ses pas, à aller de l’avant :

- « Ça s’appelle le progrès », disait-il.

Dernièrement, dans la moiteur des Caraïbes, dans une de ces vieilles bâtisses coloniales désossées et délavées de la vieille Havane, voilà que la sérieuse gamine en tutu qu’elle filmait se met soudain à piaffer devant une pirouette du Vagabond avant de retourner avec assiduité et concentration à ses exercices. Destinée à dépasser ses limites pour devenir un jour danseuse étoile, cette fillette a été contaminée par la joie de Chaplin, l’instant d’un égarement.

TOMORROW THE BIRDS WILL SING consiste en une installation de vidéos filmées dans des intérieurs de la Havane où la jeune cinéaste a tourné deux de ses films «Horizontes » et « Nuestro Mar ». Ce dernier est par ailleurs présenté dans le cadre de cette exposition. On s’immisce ainsi, par le biais des séquences, dans la vie quotidienne de jumelles, d’adolescents, de parents, d’un vieillard avec son chat et d’un fantôme lancinant sur une chaise à bascule. Tous regardent leur vie défiler en noir et blanc à la télévision. Le cinéma de Chaplin serait-il autre chose que le miroir de nos histoires ?

Ce très beau projet artistique mis en scène dans les combles du Manoir de Ban sera à découvrir à partir du 17 juillet, pour une durée d’un mois. Les visiteurs pourront ainsi se plonger dans une ambiance cubaine, aimée et bien connue de Charlie Chaplin ; Un clin d’œil à cette île des Caraïbes où l’artiste a laissé son empreinte.

Mémovox édition boutique

Entrée dans l’Histoire de l’horlogerie en 1950, ce modèle-culte est à l’origine d’une longue lignée de montres mécaniques Jaeger-LeCoultre dotées d’une alarme. « Memovox rappelle, avertit, réveille ». En 1950, une publicité souligne ainsi les mérites de la montre-réveil que Jaeger-LeCoultre vient de commercialiser. Durant les années de redémarrage économique ayant succédé à la Seconde Guerre mondiale, la Memovox – Voix de la mémoire - » a été imaginée pour aider les hommes d’affaires à ne pas manquer leurs rendez-vous grâce à sa sonnerie.

Très sobre et classique dans ses lignes, cette montre mécanique à remontage manuel se singularise par une couronne supplémentaire permettant de commander la fonction alarme. C’est cette même montre que les autorités du Canton de Vaud, où est installée la Manufacture Jaeger-LeCoultre, remettent comme cadeau à Charlie Chaplin en 1953.

Aujourd’hui, à l’ère du digital omniprésent, n’est-il pas devenu un vrai luxe que de se souvenir d’une entrevue ou de se réveiller au tintement mécanique de la sonnerie de sa montre-bracelet ? C’est sans doute ce charme un brin désuet qui séduit tant les amateurs de montres de caractère.

Pour cette édition spéciale de la Memovox automatique, les designers de Jaeger- LeCoultre se sont inspirés d’une montre datant de 1971, la Memovox « Snowdrop ». Modèle rare, son cadran d’un bleu très calme, presque gris, n’a rien perdu de sa séduction. Le bleu est d’ailleurs une couleur emblématique de la Memovox, qui a rencontré un grand succès dans cette teinte à toutes les époques.

Les caractéristiques du cadran de la Memovox « Snowdrop » ont été respectées. Les aiguilles bâtons recouvertes de matière luminescente évoluent autour d’une minuterie chemin de fer blanche. Cette dernière dessine l’extrémité du disque intérieur d’un bleu aux finitions soleillées qui accueille le petit triangle emblématique de la fonction réveil, brillant lui aussi dans le noir. Sur une surface bleue opaline, les index à trois facettes sont également recouverts de matière luminescente et surmontés d’une minuterie chemin de fer bleu-gris, comme sur la montre de l’époque. Dernier détail, le logo Jaeger-LeCoultre couronne le cadran, remplaçant le douzième index. Un bel hommage à une montre dont les traits n’ont pas vieilli.

Le boîtier en acier, lui, bénéficie d’un design contemporain, aux finitions brossées, offrant une grande élégance au poignet. Au dos, l’œil découvre le fond entièrement gravé, arborant la mention de l’édition limitée à 500 exemplaires. Au centre, le symbole du « Control 1000 Heures » assure que la montre a passé avec succès pendant 1000 heures des tests rigoureux de marche et de fiabilité.

Pour le bracelet, le choix s’est porté sur un coton tressé dit « Trieste » d’un bleu profond, élégamment surpiqué de fil bleu clair. Son intérieur de cuir veau lui assure souplesse et confort au porter.

De 1950 à aujourd’hui, bien peu de mouvements horlogers peuvent se targuer d’une telle longévité. En 2016, plus de soixante ans après son apparition, la Memovox continue de faire sonner le temps.

Master Memovox Boutique Edition

LES CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES

MOUVEMENT
- Mécanique à remontage automatique, Calibre Jaeger-LeCoultre 956, manufacturé, assemblé et décoré à la main
- 28’800 alternances par heure
- 45 heures de réserve de marche
- 268 pièces
- 23 rubis
- 7,45 mm de hauteur

CADRAN
- Cadran intérieur soleillé bleu
- Cadran extérieur bleu opalin

AIGUILLES
- Bâton, polies, Super-Luminova

FONCTIONS
- Heures, minutes, seconde
- Date
- Réveil

BOITE
- Acier, finition polie
- 40 mm de diamètre
- Hauteur : 14mm
- Fond plein avec logo “ MASTER CONTROL” et mention « Limited to 500 pieces » gravés
- Etanchéité: 5 bar

BRACELET
- Cuir de veau noir Trieste, surpiqûres bleues

LIMITATION
- Série limitée à 500 pièces
- Exclusivité boutiques Jaeger-LeCoultre

REFERENCE
- Q141848J